A chaque début de printemps c’est la même chose : on se remet sous son aile et l’on va dépoussiérer nos reflexes de pilotes, chercher à regagner en confiance, en aisance, afin de se placer dans de bonnes dispositions mentales pour acquérir de nouveaux savoir-faire, vivre de nouvelles émotions sous nos parapentes.
Dès lors que l’on va fréquenter une aérologie dite « active » (bien que ce terme soit impropre) on croisera potentiellement des turbulences liées au vent, aux thermiques voire aux deux conjugués. Ce type d’aérologie génère des variations d’incidence de notre aéronef.. Il existe donc une possibilité que la structure souple de notre aéronef se déforme et parfois se ferme. On dénombre plusieurs types de fermetures, dans cet article nous allons nous intéresser à la fermeture « Asymétrique ».
Les fermetures asymétriques en parapente.
A chaque début de printemps c’est la même chose : on se remet sous son aile et l’on va dépoussiérer nos reflexes de pilotes, chercher à regagner en confiance, en aisance, afin de se placer dans de bonnes dispositions mentales pour acquérir de nouveaux savoir-faire, vivre de nouvelles émotions sous nos parapentes.
Dès lors que l’on va fréquenter une aérologie dite « active » (bien que ce terme soit impropre) on croisera potentiellement des turbulences liées au vent, aux thermiques voire aux deux conjugués. Ce type d’aérologie génère des variations d’incidence de notre aéronef.. Il existe donc une possibilité que la structure souple de notre aéronef se déforme et parfois se ferme. On dénombre plusieurs types de fermetures, dans cet article nous allons nous intéresser à la fermeture « Asymétrique ».