Aider la prise de décision grâce à l'Echelle de Risque Aerologique
En montagne...
En hiver on consulte le Risque Avalancheux, le célèbre BERA ( Bulletin d’Estimation du Risque d’Avalanche), pour estimer le niveau de risque que présente la journée hors-piste que nous projetons d’effectuer.
Ce bulletin, émis par Météo France, se construit à l’aide de données recueillies sur le terrain, traitées par des calculateurs et affinée par les prévisionnistes de Météo France. Bien que la méthode tente de s’approcher d’une science les impondérables naturels font qu’il existe encore et toujours une marge d’incertitude sur le niveau de prévision. Il est donc important de garder un esprit ouvert et attentif à la lecture du terrain et de mettre en place des stratégies de gestion du risque en amont.
En l’air
En parapente il n’existe pas de service identique. Les pilotes emploient des langages fleuris pour qualifier la masse d’air « ça tape », « ça brasse » etc… cette appréciation est très personnelle. Il peut donc être intéressant de tenter de qualifier objectivement une masse d’air afin d’évoquer de manière neutre ce que nous traversons (ou avons traversé) en vol.
C’est un point de sécurité important qui pourra permettre lors d’un vol de groupe d’avertir les autres pilotes ou, en fin de journée, d’améliorer la qualité d’un débriefing.
Marc Boyer avait proposé ce type d’échelle, en voici une version légèrement modifiée. Elle s’étalonne de 1 à 4.
On pourrait imaginer un niveau 5, encore volable, mais uniquement destiné à des pilotes très très affutés et/ou prêt à accepter l’engagement qui va avec. Pour ce type de pilotes il n’est plus besoin d’échelle aérologique : ils doivent savoir ce qu’ils font et à quoi ils s’exposent. En outre proposer une évaluation en chiffre pairs oblige à se déterminer et à ne pas rester dans le « ventre mou » de la moyenne.
Aider la prise de décision grâce à l'Echelle de Risque Aerologique
En montagne...
En hiver on consulte le Risque Avalancheux, le célèbre BERA ( Bulletin d’Estimation du Risque d’Avalanche), pour estimer le niveau de risque que présente la journée hors-piste que nous projetons d’effectuer.
Ce bulletin, émis par Météo France, se construit à l’aide de données recueillies sur le terrain, traitées par des calculateurs et affinée par les prévisionnistes de Météo France. Bien que la méthode tente de s’approcher d’une science les impondérables naturels font qu’il existe encore et toujours une marge d’incertitude sur le niveau de prévision. Il est donc important de garder un esprit ouvert et attentif à la lecture du terrain et de mettre en place des stratégies de gestion du risque en amont.
En l’air
En parapente il n’existe pas de service identique. Les pilotes emploient des langages fleuris pour qualifier la masse d’air « ça tape », « ça brasse » etc… cette appréciation est très personnelle. Il peut donc être intéressant de tenter de qualifier objectivement une masse d’air afin d’évoquer de manière neutre ce que nous traversons (ou avons traversé) en vol.
C’est un point de sécurité important qui pourra permettre lors d’un vol de groupe d’avertir les autres pilotes ou, en fin de journée, d’améliorer la qualité d’un débriefing.
Marc Boyer avait proposé ce type d’échelle, en voici une version légèrement modifiée. Elle s’étalonne de 1 à 4.
On pourrait imaginer un niveau 5, encore volable, mais uniquement destiné à des pilotes très très affutés et/ou prêt à accepter l’engagement qui va avec. Pour ce type de pilotes il n’est plus besoin d’échelle aérologique : ils doivent savoir ce qu’ils font et à quoi ils s’exposent. En outre proposer une évaluation en chiffre pairs oblige à se déterminer et à ne pas rester dans le « ventre mou » de la moyenne.